Expo Morat ´ 02
Introduction
Tous les 25 ans, il ya de l’Exposition Nationale Suisse afin de mettre le pays sur la scène internationale à travers l’art et l’architecture, et ainsi partager et générer du plaisir du public.
Le 2001 est la date à laquelle devait avoir lieu la sixième édition de ce spectacles traditionnels, mais en raison de graves problèmes d’organisation et le manque de fonds pour le réaliser, il a dû être reportée à une année ultérieure. Avec la participation de plusieurs entreprises qui ont parrainé l’exposition, ainsi que l’aide du gouvernement, pourrait être mené à bien la réalisation de concurrence.
Situation
Quatre sites ont été choisis pour l’élaboration de cette édition de 2002. Les sites choisis étaient appelés «Arteplages » en raison de sa proximité de l’eau. Il s’agissait de Neuchâtel, Yverdon Baines les, Morat / Murten, Biel / Bienne, et un objet mobile pour passer de l’autre pour chacun d’eux.
L’architecte français Jean Nouvel a été choisi pour développer leur travail dans la belle ville historique de Morat, et tandis que cette contribution n’est pas dans leur plus publié, est certainement l’un des plus grands et ses efforts créatifs. L’architecte a dû travailler sur « Instant et l’éternité ».
Concept
Après une étude approfondie et nécessaire et la reconnaissance de la ville, a décidé de faire plusieurs interventions plus ou moins grande échelle. Et tandis que le plus connu est l’implant monolithe sur le lac, il y avait d’autres contributions réparties dans toute la ville qui collaborent afin de réaliser une découverte approfondie de la même chose.
Ce qui rend encore plus intéressant de la contribution, puisque pas tous concentrés en un seul endroit, mais il met chaque morceau dans un endroit différent, ce qui conduit le visiteur doit aller les découvrir et que, parmi toutes ces parties, générant un total de la composition.
Nouvel même pleinement engagé dans le travail, et que son but n’était pas seulement le parcours de découverte de la ville, si ce n’est de sensibiliser les résidents et les visiteurs au sujet profonde latente thèmes sociaux et écologiques. Alors peut-être ses décors d’installations artistiques plus que l’architecture elle-même.
L’intervention a été l’architecte de résonance de la nature imposante qui se tenait au milieu du lac, en face de la ville. L’intention était de créer un objet qui ressemblait beaucoup qu’il soit vu et depuis-, tout en évitant Morat densité. Ce cube qui semble flotter sur l’eau rappelle métaphoriquement utilisant des conteneurs. Nouvel crée un objet qui peut être vu de n’importe où dans la ville, mais il joue avec l’intrigue de gens à ne pas révéler le contenu à l’intérieur.
Espaces
Et de la morphologie externe est forte et ne désigne pas une surprise, l’intérieur est chargé de produire l’effet inverse. La caractéristique principale est qu’il ya un accès unique et une seule sortie, mais tout le monde peut choisir l’endroit où entrer et comment ils veulent courir le monolithe. Cette façon de voir le travail qui rend le défilement est le protagoniste de l’expérience.
Le bâtiment comporte trois niveaux et d’escaliers qui génèrent la circulation verticale, reliant les différents espaces.
Dans chacun peut trouver de nombreuses références à la vie en Suisse. Constant écrans de projection circulaires, tableaux restaurés de la bataille de Morat, les vidéos de la vie contemporaine dans la ville, objets historiques, etc. Jean Nouvel vous propose un voyage à travers l’histoire de la ville à la fois, ainsi qu’un aperçu de lui maintenant. Et au lieu de créer une exposition qui concentre toute l’attention, propose des mini-expositions constante.
De plus, dans certains secteurs, la façade elle-même devient perméable et permet aux visiteurs de profiter du visuel vers l’extérieur et peut sentir l’horizon de Morat, la connexion à la distance et la capture de leur véritable essence. Ce jeu entre intérieur et extérieur, et la ville réelle et la « ville virtuelle » était l’un des objectifs du Nouvel.
Structure
Cette pièce magnifique de l’exposition a été montée sur une plate-forme de 34 mètres au bord du lac. Le berceau est conçu avec des cubes de béton armé 100, assemblées côte à côte. Cette base a été attaché par des fils et des chaînes ancrées au fond du lac (plus de 3.300 mètres de ces éléments). Une fois cet objectif atteint, nous avons procédé à l’élévation du godet, grâce à l’utilisation de poutres métalliques et de générer une structure qui serait alors caché à l’intérieur du monolithe. Cette soudures de structure a également été renforcé par des câbles d’acier placées en diagonale, ce qui lui donnait une plus grande rigidité.
Matériaux
La plate-forme qui supporte le cube est de 34 mètres de haut et 34 mètres de large, est constitué d’éléments en béton armé assemblés. Prenant la base, la structure a été réalisée avec des poteaux métalliques et le renforcement subséquent.
Mais l’aspect le plus frappant de ce travail est l’image générée par la distance. Couvrant toute la structure avec plaque perforée micro traités (pour créer l’image souhaitée oxydé), le cube semble flotter sur l’eau comme un objet inanimé et minimaliste, presque inexpressif. Cependant, la génération dans laquelle il admire est complètement à l’opposé. Étonnant pour sa taille et son emplacement, l’Arteplage de Morat fut sans doute le plus frappant. L’utilisation de matériaux simples et des éléments, Nouvel a séduit les yeux et mettre la ville au centre de la scène. Et ceci à l’extérieur presque rustique, est devenu une excuse pour aller le découvrir à tout moment. De la lueur orange sur le lac, à une invitation à une réunion métaphysique, grâce à la collecte de la lumière naturelle par mutation de la couleur de l’objet, le travail est devenu quelque chose de très expressif.
En outre, comme ce fut micro plaque perforée dans divers secteurs, a offert l’éclairage intérieur et permettre aux visiteurs de voir le contexte.